Les notes (salées) de Philippe Val(et)

Les forfaitures intellectuelles de PV étant connues (mais il est bon de les rappeler et faire tinter les casseroles de temps à autres), c’est sous l’angle économique qu’on aimerait analyser les performances de l’ex chansonnier pas drôle reconverti en médiacrate zélé. Parce que voyez vous, PV est atteint depuis quelques mois d’une maladie transmise par voie buccale (tu la sens, ma langue ?) avec le sarkozysme, la « virite aigüe », qui consiste à virer tous ceux qui déplaisent au p’tit agité.

A Charlie Hebdo par exemple, PV aura laissé une note de 40.000 € suite au lourdage de Bob Siné pour une chronique jugée par quelques clercs antisémite, requalifié par la justice en licenciement abusif, attendu « qu’il ne pouvait être prétendu que les termes de la chronique de Maurice Sinet étaient antisémites, ni que celui-ci avait commis une faute en les écrivant » (on attend toujours au passage les plates excuses de PV et de son acolyte Claude Askolovitch dit l’illuminé, procureur du Dimanche au JDD passé au Point et avocat éditocrate de DSK entre autres).

A la rigueur, que PV plombe le bilan de Charlie Hebdo, tant mieux, ce blog de haute tenue qui vise le milliard de visiteurs uniques par mois (un minimum) leur crache allègrement sur les pompes depuis que Choron n’est plus et que sa création lui a été volée contre sa volonté.

Mais là où le citoyen se réveille, c’est quand PV passe pour services rendus de Charlie à France Inter, entreprise de service public, donc financée par les contribuables. Et c’est du lourd, du maouss costaud !

Le Jean Foutre aura successivement allégé la boite (donc le contribuable) de 212.011,55 € en virant (abusivement dira la justice) le soi-disant insolent Guillon peu enclin il est vrai à cajoler l’actionnaire, puis de 263. 000 € en lourdant (abusivement…décidément, quand ça veut pas ça veut pas) le journaliste Florent Chatain. Mais le meilleur est sans doute à venir pour faire péter le compteur et tomber les records, l’éjection de Didier Porte (qui lit trop ses fiches, c’est agaçant) pourrait rapporter à l’humoriste 400.000 € pour ? Licenciement abusif (les tribunaux sont remplis de juges d’extrême-gauche, on se croirait en ex Union Soviétique).

A l’heure où UMP et PS nous préparent une bonne vieille rigueur pour faire des économies et tailler dans les dépenses, il serait peut-être temps, pour montrer que les prolos ne seront pas les seuls à se serrer la ceinture, de se pencher sur les performances de la chefferie de France Inter.

(Encore que, PV n’aime pas trop qu’on lui pose des questions, à lui et ses potes Daniel Leconte, Richard Malka, le gâteux Wolinski, ou le gêné aux entournures Cabu…).

Comments
3 Responses to “Les notes (salées) de Philippe Val(et)”
  1. Alex dit :

    Fais gaffe à pas te faire virer, quand même.

    Pour reprendre Choron, lui même repris par Soral : « Charlie hebdo, c’est de la merde, qu’ils crèvent ».

    Rien de tel qu’un samedi attaqué en vitupérant contre l’ex chanteur scout pédophile, devenu alopécique sur les bords, à force de caresses prolongées de la main de son maître…

  2. vivelapluie dit :

    Je me demande où va finir Val… Figaro Madame peut-être ?
    Ou Ambassadeur à Washington.
    Faut finir en beauté.

  3. Alex dit :

    Lobbyiste lors d’un prochain conflit armé?…

    A moins qu’il ne rentre comme ministre de la stigmatisation des Musulmans dans le gouvernement de Hollande en 2012…

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